Perso, sur la V.O. ceux sont plus les dessins de Sean Murphy qui m’ont séduit que le scénario, surtout vers la fin où ce type de trame est du déjà vu. Dans tous les cas, ce comics reste quand même un incontournable.
J’ai acheter ce bouquin essentiellement pour Sean Murphy, car je suis très fan de son dessin.
Je suis un peu plus nuancé sur mes impressions.
Le dessin est toujours sublime mais je ne l’achèterai jamais en noir & blanc, en effet j’ai l’impression que ces planches sont tellement foisonnante que sans la couleur on perd en lisibilité alors que le travail sur la couleur est splendide. Et pourtant je prie pour une édition noire & blanche de Joe l’aventure intérieur (j’aime pas du tout la colorisation). Mais avoir fait deux éditions permet de satisfaire tout le monde.
Le scénario est très bien aussi, non, ce qui me gène surtout c’est le rythme allié à l’hyper-violence. J’ai eu du mal à trouver du fond sur les premiers chapitres. Tout va trop vite, on a pas vraiment le temps… et en même temps que j’écris ses lignes, je me dis que c’est peut-être aussi une force et une réussite. De réussir a faire transparaitre cette impression d’urgence, que tout va trop vite etc.
Perso, sur la V.O. ceux sont plus les dessins de Sean Murphy qui m’ont séduit que le scénario, surtout vers la fin où ce type de trame est du déjà vu. Dans tous les cas, ce comics reste quand même un incontournable.
J’ai acheter ce bouquin essentiellement pour Sean Murphy, car je suis très fan de son dessin.
Je suis un peu plus nuancé sur mes impressions.
Le dessin est toujours sublime mais je ne l’achèterai jamais en noir & blanc, en effet j’ai l’impression que ces planches sont tellement foisonnante que sans la couleur on perd en lisibilité alors que le travail sur la couleur est splendide. Et pourtant je prie pour une édition noire & blanche de Joe l’aventure intérieur (j’aime pas du tout la colorisation). Mais avoir fait deux éditions permet de satisfaire tout le monde.
Le scénario est très bien aussi, non, ce qui me gène surtout c’est le rythme allié à l’hyper-violence. J’ai eu du mal à trouver du fond sur les premiers chapitres. Tout va trop vite, on a pas vraiment le temps… et en même temps que j’écris ses lignes, je me dis que c’est peut-être aussi une force et une réussite. De réussir a faire transparaitre cette impression d’urgence, que tout va trop vite etc.